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Le feu artifice

Au bord de la mer montante, ornée de paillette scintillante,

Les vacanciers se placent soigneusement.

Sur le sable fin du soir mémorable assi là,

En regardant attentivement ce brillant

Spectacle musical, coloré délicatement de flambeaux olympiques,

Aux couleurs vives et scintillantes,

Aux cœurs en joie immense d’un spectacle grandiose,

Musicalement au son familier des vagues étincelant dans le soir paisible

Tractes-en un été radieux de tous les désirs charnels.

D’un bal bretonnant qui s'anime gentiment,

Sur les vagues lumineuses, quelques badauds s'embrassent amoureusement.

Au ciel sombre, d'un été musical d'une chaleur caniculaire,

Se laissant aisément à tous leurs désirs charnels d'une agréable soirée,

Au son mélodieux et luminaires tamisé

Au pied massif de l'immense baie

Les vagues agrumes sagittés

Sur une vaste mousse d'écume lumineuse

À la couleur apaisante.

D'algues multicolores

Aux fruits de mer inexplorée,

Scintillante dans le lointain brumeux,

Marchant sur cette plage paradisiaque,

Ensoleillée particulièrement,

Par le soleil couchant,

En saupoudraient abondamment, de ce soleil marin.

Venant régulièrement du large,

La haut des immenses dunes,

Tapisser exactement de vert printanier,

D'un tapis bleu, vers la vaste mer

Bleuté vaguement, de les brillantes couleurs,

D'un immense arc-en-ciel.

Auteur Françoise Le Vaillant

La mer montante se déchaîne soudain.

Un vent du nord magnétique, annoncer sans ambages,

Viens discrètement de se lever vivement, sur cette mer pathétique.

On perçoit distinctement de véritables bruits.

Le grondement régulier des vagues bouillonnantes.

Surgissant spontanément de cette mer immense.

Soufflant par vent, fracassant sur l'océan,

Les bruits des vagues montantes,

Se jettent sur les rochers immobiles.

Dans le bruit retentissant, de ce soir mémorable,

Éclairer brillamment cette gigantesque tempête.

Éclairant tout l'océan, laissant volontiers les vagues inespérées

Se soulever vivement, sur ces phares celtiques,

Illuminés davantage de cette marée folle.

Seules les mouettes rieuses aux vastes ailes,

Déployées soigneusement,

Cherchant activement leurs envolées poétiques,

N'ayant plus peur bravant ouvertement cette véritable tempête

Cherchant activement quelques mangeailles

Pour mettre soigneusement sous leurs becs fins,

Rien n'est épargné par cette véritable tempête.

Laissant volontairement à la dérive criminelle,

Ces immenses bateaux avec courage exceptionnel,

Ils se donneront sans faille logique.

Ne pouvant plus avoir suffisamment,

De commande motrice de leur merveilleux navire,

Venant miraculeusement s'échouer là sur la rive verdoyante,

Seuls ces bateaux royaux des vastes mers

Les sauveront miraculeusement de cette noyade accidentelle

Au pied massif de l'immense baie

Les vagues agrumes sagittés

Sur une vaste mousse d'écume lumineuse

À la couleur apaisante.

D'algues multicolores

Aux fruits de mer inexplorée,

Scintillante dans le lointain brumeux,

Marchant sur cette plage paradisiaque,

Ensoleillée particulièrement,

Par le soleil couchant,

En saupoudraient abondamment, de ce soleil marin.

Venant régulièrement du large,

La haut des immenses dunes,

Tapisser exactement de vert printanier,

D'un tapis bleu, vers la vaste mer

Bleuté vaguement, de les brillantes couleurs,

D'un immense arc-en-ciel.

Auteur Françoise Le Vaillant