La newsletter est un outil de communication idéal pour garder le contact avec vos clients inactifs ou vos prospects.
Cependant, envoyée trop fréquemment, elle risque d’être perçue comme invasive. Trop rare, elle ne joue plus son rôle de lien.
Mais alors, à quelle fréquence envoyer une newsletter ?
L’importance de la fréquence d’envoi d’un emailing
En 2017, 90 % des internautes étaient abonnés à au moins 6 newsletters et 76 % d’entre eux ont déjà acheté un produit en suivant un lien présent dans une lettre d’information numérique.
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Si certains blogueurs ou entrepreneurs envoient des emailings quotidiens, d’autres privilégient la rareté.
La fréquence d’envoi d’une newsletter diffère selon les attentes des clients et les besoins en communication de l’entreprise ou du blogueur. Un site qui communique sur l’actualité d’un secteur ne pourra pas se contenter d’un envoi mensuel. Par contre, une newsletter qui a pour vocation d’informer les abonnés sur l’avancée d’un projet ou sur les évènements liés à une entreprise peut se permettre d’être envoyée moins fréquemment.
Si l’on communique trop souvent sur un sujet qui ne le nécessite pas, l’abonné risque de se lasser et de se désabonner. Au contraire, si on communique trop peu, le lien entre l’expéditeur et le destinataire risque de se distendre.
Pour éviter ces écueils, certaines entreprises ont fait le choix de demander à leurs abonnés leur opinion sur la fréquence d’envoi de leur lettre d’information. En créant un tel sondage, elles démontrent qu’elles portent de l’intérêt aux avis de leurs abonnés.
Faut-il envoyer beaucoup de newsletters ?
Il n’y a pas de réponse « exacte » à cette question, car tout dépend de ce que comprend la newsletter. Un blogueur qui vit de son blog ou un entrepreneur qui vend des services comme des formations par exemple, aura tout intérêt à en envoyer beaucoup.
Il faut prendre conscience qu’une newsletter hebdomadaire ne sera pas considérée comme du spam par les abonnés si le contenu est intéressant. Certains marketeurs vont même jusqu’à envoyer une par jour sans pour autant mettre en péril leur liste d’abonnés.
Par contre, lorsque l’on a du mal à créer du contenu pertinent pour chaque newsletter, revoir leur fréquence d’envoi à la baisse peut être une bonne solution pour assurer du contenu de qualité à ses abonnés. Et puis, en cas d’évènement spécial, rien n’empêche la création d’une lettre d’information additionnelle.
Emailing trop fréquent : les signaux d’alerte
Parmi les signaux qui démontrent qu’il serait opportun de revoir la fréquence d’envoi d’une newsletter, on note :
- Le désabonnement : généralement, on note un pic des désabonnements à l’envoi d’un emailing. Il n’y a pas de quoi s’alarmer, car l’abonné souhaite peut-être tout simplement alléger sa quantité d’abonnements. Mais cela peut aussi être la preuve que les envois sont trop nombreux par rapport au bénéfice perçu par le lecteur.
- L’email de plainte pour spam : si vous envoyez votre newsletter via une plateforme spécifiquement dédiée à ce service, l’abonné peut se désinscrire immédiatement. Si vous optez pour une newsletter envoyée via une boîte mail classique, vous recevrez peut-être des demandes de désabonnement plus claires du genre : stop spam ! C’est le signal que votre newsletter est jugée invasive. La solution est donc de diminuer la fréquence et, évidemment, de retirer de votre liste d’envoi l’adresse email de la personne qui s’est plainte.
Sachez que la plupart des logiciels de conception de newsletters permettent aux usagers de définir la fréquence d’envoi : quotidiennement, à chaque nouvel article paru sur un site, une fois par semaine… Ceci est une méthode intéressante pour transmettre vos informations tout en respectant les souhaits de vos abonnés.
Merci pour ces conseils !
Je suis actuellement en train de mettre ma newsletter en place pour mon blog. Cet article est donc une mine d’or pour moi 😉