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Investissement dans le non coté - Un texte

Consignes générales du client :

Objectifs : Montrer le pouvoir de diversification, de performance et de contribution à l’économie réelle du non coté

Publics : investisseurs privés et professionnels

Consignes : Blocs de texte issus de différentes sources à reformuler et synthétiser, merci beaucoup

Introduction :

Le « non-coté », les investisseurs privés n’ont plus que ce mot à la bouche. Avec la baisse de rémunération des placements classiques, comme les fonds euros, la méfiance vis-à-vis de la Bourse, l’univers feutré du « non-coté », peu mis en avant par les banquiers, attire de plus en plus d’épargnants. Surtout parmi les plus fortunés.
« Environ 60 % des personnes interrogées pensent augmenter la part du private equity grâce à des fonds d’investissement en 2019 », expliquait récemment Rémi Béguin, administrateur de l’Association française de family office (AFFO), en présentant le dernier sondage d’OpinionWay auprès des gérants de fortunes membres de cette association.

Les actifs non cotés en bourse sont également prisés par les fonds de dotation, les fonds souverains et les caisses de retraite publiques depuis déjà un bon moment. Ces derniers temps toutefois, ils suscitent également un intérêt accru de la part d’autres investisseurs institutionnels. Par exemple, 60 % des compagnies d’assurance européennes ont augmenté leur exposition aux actifs non cotés entre 2011 et 2016. Les afflux de capitaux ont porté aussi bien sur les actions que les obligations et le capital investissement représente désormais le tiers de leurs portefeuilles d’action ( Investment behaviour report, European Insurance and Occupational Pensions Authority, novembre 2017.

Développement :

Les actifs non cotés peuvent créer de la valeur ajoutée de trois manières :
1.1 En générant des rendements plus élevés

Non coté : un investissement performant sur le long terme

La surperformance de l’investissement en titres non cotés par rapport aux autres classes d’actifs ne se dément pas. Les dernières données publiées par l’Association française des investisseurs pour la croissance (AFIC) confirment les excellents résultats obtenus par les fonds dédiés à cette activité de financement des entreprises non cotées.

Le private equity : la classe d'actifs la plus rentable depuis 10 ans

Performance annualisée sur 10 ans à fin 2015 sur les différentes classes d'actifs :

Capital-investissement : 10%
Cac 40 : 4%
Immobilier : 6%
Hedge funds : 5%

Source : Association française des investisseurs pour la croissance (AFIC)

Des métiers plus rentables que d’autres
En revanche, cette performance globale masque des rendements contrastés selon les métiers. Le terme générique de capital-investissement regroupe en effet des activités assez différentes dans leurs modalités d’intervention. C’est le capital-transmission qui affiche la meilleure rentabilité annualisée sur les dix dernières années, avec une performance de 16,1 %, suivi du capital-développement (5 %). Les fonds spécialisés dans le capital-innovation, qui interviennent en tant qu’investisseur en fonds propres au moment de la création d’entreprise, par nature plus risqués, ont plus de peine à dégager régulièrement une rentabilité positive : sur les dix dernières années, celle-ci s’établit à 0,3 % et s'avère variable selon les périodes.

1.2 En permettant une plus grande diversification

En premier lieu, il importe de comprendre que le non-coté recouvre une multitude d’opportunités d’investissement. S’il rend la généralisation difficile, cet état de fait offre également aux investisseurs un large éventail de choix. Une variété considérable existe en termes de risque, de rendement et de profil de liquidité. Certains actifs présentent un potentiel de rendements accru, d’autres offrent une meilleure garantie de rendements.

Pour autant, ces secteurs peuvent chacun être scindés en sous-secteurs présentant différentes caractéristiques. Le marché du capital investissement peut lui-même se subdiviser entre capital-risque, rachat de petites/moyennes/grandes capitalisations, capital développement, capital retournement et opérations secondaires entre autres catégories. Les secteurs de l’immobilier commercial et des infrastructures se répartissent généralement entre stratégies core, core plus, value-add et opportunistic,

1.3 En réduisant le risque (décorrélation des marchés financiers, faible volatilité et risque de perte plus faible sur l’immobilier)

Conclusion : Est-il trop tard pour investir ?

De plus, l’accès aux transactions constitue désormais l’un des atouts les plus importants qu’un investisseur performant peut revendiquer. Cet accès peut être obtenu de deux manières : Ȃ S’appuyer sur la crédibilité et la réputation d’un gérant pour obtenir l’accès à des transactions invisibles à d’autres. Ȃ Investir dans des segments moins engorgés du marché

À ce stade du cycle, les investisseurs doivent faire preuve d’un plus grand discernement dans le choix des secteurs et des gérants dans lesquels ils placent leurs capitaux. Les valorisations sont plus élevées qu’il y a quelques années mais il est encore possible de déceler des opportunités d’investissement attrayantes, à condition d’adopter l’approche adéquate.

Les marchés du non-coté offrent un grand choix de possibilités d’investissement. Ils permettent d’obtenir un surcroît de rendement par rapport aux marchés cotés et, dans certains cas, de réduire le risque. Les prix du non-coté ont augmenté mais des opportunités attrayantes subsistent. Face à la concurrence accrue sur les marchés, l’accès aux transactions revêt une importance croissante en tant que source d’alpha. À ce stade du cycle, les investisseurs doivent se montrer plus sélectifs dans le choix des secteurs où investir et des gestionnaires auprès desquels ils placent leurs capitaux.

Texte #1
900 mots
Terminé

Objectifs : Montrer le pouvoir de diversification, de performance et de contribution à l’économie réelle du non coté

Publics : investisseurs privés et professionnels

Consignes : Blocs de texte issus de différentes sources à reformuler et synthétiser, merci beaucoup

Introduction :

Le « non-coté », les investisseurs privés n’ont plus que ce mot à la bouche. Avec la baisse de rémunération des placements classiques, comme les fonds euros, la méfiance vis-à-vis de la Bourse, l’univers feutré du « non-coté », peu mis en avant par les banquiers, attire de plus en plus d’épargnants. Surtout parmi les plus fortunés.
« Environ 60 % des personnes interrogées pensent augmenter la part du private equity grâce à des fonds d’investissement en 2019 », expliquait récemment Rémi Béguin, administrateur de l’Association française de family office (AFFO), en présentant le dernier sondage d’OpinionWay auprès des gérants de fortunes membres de cette association.

Les actifs non cotés en bourse sont également prisés par les fonds de dotation, les fonds souverains et les caisses de retraite publiques depuis déjà un bon moment. Ces derniers temps toutefois, ils suscitent également un intérêt accru de la part d’autres investisseurs institutionnels. Par exemple, 60 % des compagnies d’assurance européennes ont augmenté leur exposition aux actifs non cotés entre 2011 et 2016. Les afflux de capitaux ont porté aussi bien sur les actions que les obligations et le capital investissement représente désormais le tiers de leurs portefeuilles d’action ( Investment behaviour report, European Insurance and Occupational Pensions Authority, novembre 2017.

Développement :

Les actifs non cotés peuvent créer de la valeur ajoutée de trois manières :
1.1 En générant des rendements plus élevés

Non coté : un investissement performant sur le long terme

La surperformance de l’investissement en titres non cotés par rapport aux autres classes d’actifs ne se dément pas. Les dernières données publiées par l’Association française des investisseurs pour la croissance (AFIC) confirment les excellents résultats obtenus par les fonds dédiés à cette activité de financement des entreprises non cotées.

Le private equity : la classe d'actifs la plus rentable depuis 10 ans

Performance annualisée sur 10 ans à fin 2015 sur les différentes classes d'actifs :

Capital-investissement : 10%
Cac 40 : 4%
Immobilier : 6%
Hedge funds : 5%

Source : Association française des investisseurs pour la croissance (AFIC)

Des métiers plus rentables que d’autres
En revanche, cette performance globale masque des rendements contrastés selon les métiers. Le terme générique de capital-investissement regroupe en effet des activités assez différentes dans leurs modalités d’intervention. C’est le capital-transmission qui affiche la meilleure rentabilité annualisée sur les dix dernières années, avec une performance de 16,1 %, suivi du capital-développement (5 %). Les fonds spécialisés dans le capital-innovation, qui interviennent en tant qu’investisseur en fonds propres au moment de la création d’entreprise, par nature plus risqués, ont plus de peine à dégager régulièrement une rentabilité positive : sur les dix dernières années, celle-ci s’établit à 0,3 % et s'avère variable selon les périodes.

1.2 En permettant une plus grande diversification

En premier lieu, il importe de comprendre que le non-coté recouvre une multitude d’opportunités d’investissement. S’il rend la généralisation difficile, cet état de fait offre également aux investisseurs un large éventail de choix. Une variété considérable existe en termes de risque, de rendement et de profil de liquidité. Certains actifs présentent un potentiel de rendements accru, d’autres offrent une meilleure garantie de rendements.

Pour autant, ces secteurs peuvent chacun être scindés en sous-secteurs présentant différentes caractéristiques. Le marché du capital investissement peut lui-même se subdiviser entre capital-risque, rachat de petites/moyennes/grandes capitalisations, capital développement, capital retournement et opérations secondaires entre autres catégories. Les secteurs de l’immobilier commercial et des infrastructures se répartissent généralement entre stratégies core, core plus, value-add et opportunistic,

1.3 En réduisant le risque (décorrélation des marchés financiers, faible volatilité et risque de perte plus faible sur l’immobilier)

Conclusion : Est-il trop tard pour investir ?

De plus, l’accès aux transactions constitue désormais l’un des atouts les plus importants qu’un investisseur performant peut revendiquer. Cet accès peut être obtenu de deux manières : Ȃ S’appuyer sur la crédibilité et la réputation d’un gérant pour obtenir l’accès à des transactions invisibles à d’autres. Ȃ Investir dans des segments moins engorgés du marché

À ce stade du cycle, les investisseurs doivent faire preuve d’un plus grand discernement dans le choix des secteurs et des gérants dans lesquels ils placent leurs capitaux. Les valorisations sont plus élevées qu’il y a quelques années mais il est encore possible de déceler des opportunités d’investissement attrayantes, à condition d’adopter l’approche adéquate.

Les marchés du non-coté offrent un grand choix de possibilités d’investissement. Ils permettent d’obtenir un surcroît de rendement par rapport aux marchés cotés et, dans certains cas, de réduire le risque. Les prix du non-coté ont augmenté mais des opportunités attrayantes subsistent. Face à la concurrence accrue sur les marchés, l’accès aux transactions revêt une importance croissante en tant que source d’alpha. À ce stade du cycle, les investisseurs doivent se montrer plus sélectifs dans le choix des secteurs où investir et des gestionnaires auprès desquels ils placent leurs capitaux.

Olivier-32225 a été choisi pour la rédaction de ce texte.

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